Avant le festival… c’est déjà le festival ! Chaque année en effet, le festival organise, de novembre mars, une résidence d’artistes qui animent des ateliers autour des mots.
Cette année, ce sont Ombline de Benque, Adeline Reynes et Valérie Fernandez, qui ont fait vibrer plus de 500 habitants de tous âges, notamment des élèves, avec « les mots et la fabrique de l’émotion ».
La restitution permet d’élargir aux familles le cercle de l’émotion et de partager ce qui a été créé, notamment les « cartes sensibles » et une exploration dansée et poétique inspirée par la forêt avoisinante.
Dans le prolongement de ce moment, vous serez invités à poursuivre le voyage au cœur des émotions avec le spectacle Et puis s’en va, l’album pour de vrai.

Dans le cadre de la mission-résidence du festival, nous avons accueilli trois artistes, Ombline de Benque, Adeline Reynes et Valérie Fernandez, qui ont sillonné nos territoires pendant 4 mois. Autour de la thématique des « mots et de la fabrique de l’émotion », elles ont rencontré plus de 25 partenaires.
Venez découvrir la carte du tendre du collège de Couloisy, l’exploration dansée autour des mots du monde de l’école de Cuise-la-Motte et le spectacle Le Colporteur de mots de l’école de Trosly-Breuil.

Une belle bohémienne, Sarah Casey, décide un prêtre à l’unir à Michael Byrne, un rétameur avec lequel elle vit, moyennant une pièce d’or et un pot de fer-blanc, mais elle finit par y renoncer devant la grossièreté du prêtre et l’hostilité de la mère de Michael, une vieille pocharde qui a échangé, la veille du mariage, le pot de fer-blanc contre une pinte de bière. Dans cette farce impitoyable, Synge s’en prend, dans un pays profondément catholique, à l’hypocrisie des hommes d’église.

Plus qu'une pièce de théâtre, nous souhaitions créer avec vous une expérience participative. Pour nous, ici, le souvenir est une expérience commune. Il ne s'agit pas véritablement du souvenir mais de "se souvenir", de mettre le souvenir dans le lien.

Invitée à raconter sa version de la tragédie de sa sœur (Antigone), Ismène revit les doutes qui l’ont traversée à l’époque et qui la taraudent toujours vingt-cinq siècles plus tard.

Pas de Simone dans le spectacle mais Les troublions se proposent de revisiter à leur façon les sketchs télé de notre enfance. Quelques fois il arrive que l’INA nous en propose un sur le fil d’actualités de nos réseaux favoris, et à chaque fois c’est une bouffée de jeunesse…

En Iran et en Afghanistan, des femmes ont enlevé leur hijab en public. Ces actes de défiance directe envers les autorités et les lois islamique qui imposent le port du voile inspirent une performance de libération des brossières, une danse des femmes détachant leurs cheveux.

Dans le cadre du festival, nous avons accueilli trois artistes, Ombline de Benque, Adeline Reynes et Valérie Fernandez, qui ont sillonné nos territoires pendant 4 mois. Autour de la thématique des « mots et de la fabrique de l’émotion », elles ont rencontré plus de 25 partenaires.
Venez découvrir la carte du territoire des émotions du Lycée Château Potel, écouter la chorale de l’Ephad de la Ferté-Milon, vous étonner devant les masques des animaux de l’école de Morsain et écouter les chansons de la crèche du Jardin de Mamie de Villers-Cotterêts.

Dans la famille de Benjamin, on parle ‘avé l’accent’, sauf lui. 
Il parle pointu, c’est-à-dire avec l’accent du pouvoir. 
Parler pointu est une expression que les méridionaux utilisent pour désigner l'accent de ceux qui vivent au-dessus de Valence, jusqu'à Lille. Parler Pointu raconte l’abandon progressif des langues régionales et des accents, et ce que cette perte revêt d'à la fois intime et politique.